Le Mont Saint Michel est une commune,... et oui ! Qui tire son nom d’un îlot rocheux dédié à l'Archange Saint Michel chef de la milice angélique, messager de dieu. Au sommet s'érige l'Abbaye du Mont Saint Michel, dont son architecture et la baie qui l'entourent en font le site touristique le plus fréquenté de France, avec plus de 3 000 000 visiteurs par an. Une statue de Saint Michel est placée au sommet de l’église abbatiale qui culmine à 170 mètres au dessus du rivage. L'abbaye et ses dépendances sont classées Monuments Historiques, la commune et la baie figurent au patrimoine mondial de l'UNESCO. La commune, quant à elle, est peuplée de 42 habitants.
HISTOIRE DE LA VILLE :
Le Mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique à l’est de l’embouchure du Couesnon sur lequel en 709 est construit un sanctuaire en l’honneur de l'Archange Michel. Si auparavant il fut connu comme le Mont Tombe, pendant tout le Moyen Age il fut couramment appelé "Mont Saint Michel au Péril en Mer".
Le Couesnon proche de la bretagne (photo de Ikmo-ned)
Le Mont était rattaché depuis l'époque de Charlemagne au diocèse d'Avranches, mais en 867, le traité de Compiègne attribua le Mont à la Bretagne.
Ce ne sera que quelques décennies plus tard, en 1009, que la frontière sud de l'Avranchin, région d'Avranche, sera déplacée jusqu'au Couesnon dont l'embouchure marqua pendant des siècles la limite entre la Normandie et la Bretagne. L'histoire se brouille alors à cette date, mais l'appartenance du Mont Saint Michel est attestée quelques décennies plus tard, et se confirme lorsque Guy de Thouars, gouverneur de Bretagne, incendie le Mont en 1204.
Le Mont même était peut-être un lieu de cultes pour les druides qui habitaient la région autour du mont Saint-Michel et l'Avrachin. Le rocher aurait été dédié au dieu gaulois du soleil, sous le nom de Tombe de Benelos.
Au milieu du 6è siècle, le christianisme s’implante dans la baie. À cette époque, le Mont Tombe offre un abri aux ermites du curé d'Astériac veillant sur le site en menant une vie contemplative autour de deux oratoires. Le premier, dédié au martyr chrétien Saint Etienne qui est élevé à mi-hauteur du rocher. Il est suivi d’un second en l’honneur du premier martyr des Gaules Saint Syphorien, élevé au pied du rocher.
En 708, l'Evêque St Aubert d'Avranches décide l’édification d’un oratoire dédié à l'Archange St Michel. St Aubert aurait reçu, au cours de son sommeil, trois fois l’ordre de Saint-Michel de faire ériger sur le Mont-Tombe un oratoire. L’archange aurait laissé la trace de son doigt sur le crâne d’Aubert. Ce crâne repose dans la cathédrale d’Avranches et porte les traces d’un tel stigmate. Le sanctuaire doit être, selon les prescriptions de l’ange, une
réplique du Mont-Gargan en Italie. St Aubert fait alors construire un sanctuaire circulaire formé de morceaux de roc grossièrement empilés et envoya des moines chercher au Mont Gargano reliques du lieu. Puis, le 16 octobre 709, l’évêque fit la dédicace de l’église et y installa un chapitre de douze chanoines. Le Mont-Saint-Michel était né.
Les premières constructions se révèlent rapidement insuffisantes et à l’époque carolingienne, d’importants bâtiments sont élevés, autour desquels se répartissent les cellules individuelles des religieux.
Les chanoines du Mont-Saint-Michel se montrèrent, durant le premier siècle de leur institution, fidèles à la mission qui les avait attachés au culte de l’archange saint Michel. Le Mont devint à la fois un lieu de prière et d’étude, mais l’ère de stabilité connue par la Neustrie durant le règne de Charlemagne.
Mais à la mort de ce dernier, tandis que le reste de la Gaule subissait les invasions barbares, la religion et la science trouvaient refuge et asile dans le Diocèse d'Avranches, et surtout au Mont-Saint-Michel. Profitant de la désunion des petits-fils de Charlemagne, les raids et incursions des Vikings reprirent une nouvelle vigueur qui atteignirent le Mont en 847. Les religieux quittèrent alors le Mont qui ne resta pas cependant désert. Sa position, au milieu des palus maritimes, l’offrait comme un asile aux populations cherchant refuge contre les hommes du nord.
Après la signature du traité de St Clair sur Epte, le Mont-Saint-Michel fut un des établissements religieux rétablit des méfaits de l'invasion, et les chanoines que la guerre avait éloignés, furent rappelés redonnant au Mont un lieu de prières.
Le rapide développement des richesses de l’abbatiale Saint-Michel finit par constituer un sérieux obstacle au bon fonctionnement, et même à la vocation religieuse de l’abbatiale. Dotés des moyens de satisfaire leurs passions, les chanoines dépensèrent en plaisirs les richesses provenant de la piété des princes tandis que l’église restait déserte ou n’était fréquentée par des clercs légèrement rétribués. Les nobles du pays cherchèrent à obtenir les bénéfices de la riche abbaye pour mieux les dépenser dans les plaisirs de la table, du monde et de la chasse, où se passa désormais exclusivement leur existence.
Mais lorsque Richard Ier dit "sans peur", succéda à son père Guillaume Longue Epée, il tenta de résoudre le problème en faisant comparaître les chanoines devant lui pour leur reprocher leurs débordements et leur rappeler le caractère saint de l’abbaye. Après les remontrances, les prières et les menaces, en vain, afin de les ramener à la régularité de la vie religieuse, Richard demanda l'approbation du pape et du roi d'installer un monastère de bénédictins. S’étant rendu à Avranches, suivi d’un important cortège de seigneurs et de religieux, Richard expédia un de ses officiers pour notifier aux chanoines de se soumettre aux austérités de la vie claustrale en prenant l’habit de saint Benoit, ou quitter le Mont. Seul un accepta, tandis que tous les autres abandonnèrent les lieux, laissant ainsi l’abbé Maynard Ier, de l’abbaye de Saint-Wandrille, y établir la règle bénédictine.
En 1204 Philippe Auguste, roi de France, franchit avec son armée, la frontière Normande avec l'appui de Guy de Thouars, duc de Bretagne. Le Mont-Saint-Michel fut le premier point des efforts de ce dernier qui ne put empêcher le saccage, et le massacre de la ville. Il dû se résoudre à la retraite en livrant la ville au feu. Le sinistre se développa avec une telle violence que les flammes, s’élançant vers le sommet du mont, débordèrent sur l’abbaye, dont elles réduisirent presque tous les bâtiments en cendres. Philippe-Auguste ressentit la plus vive douleur de ce désastre, et envoya à l’abbé Jordan une somme d’argent imprtante destinée à réparer ces ravages.
En 1356 les Anglais commencent le siège de l’abbaye. Mais Du Gesdin, capitaine de la garnison du Mont, remporte plusieurs victoires qui permettent d’écarter la menace anglaise pour plusieurs années.
En 1386 Pierre Le Roy est élu abbé et ordonne la construction de la tour Perrine, de la tour des Corbins et du Châtelet afin de défendre l’entrée du monastère. Plus tard sera construit un rempart pour protéger la ville, ainsi qu’une citerne pour alimenter le Mont en eau douce.
Début 14è siècle, alors que Rouen est aux mains des Anglais, le Mont reste la seule ville normande encore française. Mais craignant la puissance anglaise, Robert Jollivet offre ses services au roi d'Angleterre.
Le duc de Bretagne, averti, malgré son alliance avec l’Angleterre, des dangers que la possession de ce roc par ce pays représentait pour ses provinces. Sur ses ordres, secrètement, plusieurs vaisseaux furent équipés et armés prêt à combattre l'ennemi. Mais les Anglais résistèrent eçurent leur choc avec fermeté, pourtant la flotte anglaise fut jetée dans un tel désordre, que tout ce qui put échapper au fer, périt dans les flots. Lorsque l’escadre victorieuse vint aborder au Mont-Saint-Michel, les troupes assiégeantes, redoutant une attaque combinée des Montois et des chevaliers bretons, abandonnèrent à la hâte leurs bastilles.
Mais les anglais n'entendent pas de lâcher le Mont si facilement. Et à chaque marée basse, les Anglais y descendent jusqu'aux murailles du Mont au prix d'escarmouches et de combats.
En novembre 1425 d'Estouteville organise une sortie surprise en force qui culbute les Anglais. Les religieux gagent tous leurs accessoires précieux et renforcent leurs fortifications, construisent la porte, la herse et le pont-levis. Charles VII les encourage.
En 1433, un incendie ravage une bonne partie de la ville, les anglais profitent alors pour attaquer l’abbaye. Ils seront repoussés, et poursuivis sur les grèves, marquant ainsi la dernière attaque des Anglais, après laquelle ils se contenteront depuis leurs bastilles jusqu’à la libération de la Normandie.
Au 18è et début 19è siècle le Mont St Michel deviendra progressivement une prison, abandonné par les religieux.
Des travaux urgents de consolidation et de restauration de l’abbaye, classée Monument Historique en 1874 sont effectués par Édouard Corroyer, et une flèche élevée par l'Archange St Michel est érigée au sommet.
Aujourd'hui, le Mont connaît des jours paisibles, avec une activité religieuse qui a su s'associer aux pélerinages et au tourisme avec succès.
TOURISME :
Le Mont-Saint-Michel compte 61 édifices comportant au moins une protection au titre des monuments historiques, 53 édifices comportant au moins une partie classée, les 8 autres étant inscrits. Bien qu'une petite commune, Le Mont-Saint-Michel est la 46e de France en termes de protections au titre des monuments historiques.
Le Mont-Saint-Michel pourrait être considéré comme une énorme structure où le tout superpose les différents bâtiments dévolus aux activités d’un monastère bénédictin sur un espace restreint et escarpé.
⇒ Le patrimoine religieux :
- L'abbaye St Michel. Édifiée dès le 10è siècle, elle regorge de merveilles architecturales aux styles carolingien, roman et gothique flamboyant.
L'abbaye se compose donc de :
· l'église Notre Dame sous Terre, fondée en 966, dont les agrandissements successifs de l’abbaye ont fini par absorber la totalité jusqu’à la faire oublier pendant plusieurs siècles, avant sa redécouverte lors des fouilles effectuées aux 19è et 20 è siècles. Elle offre un magnifique exemple d’architecture pré-romane. Ci-contre les vestiges de l'oratoire d'Aubert.
· L'église Abbatiale, édifiée à la place des bâtiments abbatiaux, transférés au nord de Notre-Dame-Sous-Terre, afin d'agrandir l'abbaye pour faire face à l'intensification des pèlerinages. Elle comportait également trois cryptes, la chapelle des Trente-Cierges, la crypte du chœur et la chapelle Saint-Martin. En 1080 trois étages de bâtiments sont édifiés au nord de Notre-Dame-Sous-Terre, comprenant la salle de l’Aquilon, servant d’aumônerie accueillant les pèlerins, le promenoir des moines et le dortoir. Le cellier et l’aumônerie de la future Merveille sont également entamés.
Les nouvelles constructions recouvrent alors entièrement Notre-Dame-Sous-Terre qui demeure néanmoins utilisée pour le culte.
Façade de l'abbatiale (photo de Strikehard)
- La Merveille, l’endroit où vivaient les moines. Vue de l’extérieur, elle correspond à la face nord, et a été construite en 25 ans sur trois étages.
Elle est organisée en deux parties : la partie est qui fut la première construite de 1211 à 1218 comprenant trois salles, l’Aumônerie, la Salle des Hôtes et le Réfectoire. La partie ouest, construite en 1225, comportant également trois salles : le cellier, la salle des Chevaliers (photo de droite) et le cloître.
La salle des chevaliers
- Le Cloître, situé au centre du monastère contrairement à la plupart des cloîtres, sa fonction est donc purement spirituelle. Trois arches sont ouvertes sur la mer et le vide, ce qui evait constituer à l'origine l’entrée de la salle capitulaire qui ne fut jamais construite.
Le cloître abrite un jardin médiéval composé de rosiers de Damas, de plantes médicinales, d’herbes aromatiques et de fleurs rappelant les besoins quotidiens des moines du Moyen Âge. Auparavent, au centre, où il y a du buis, ce trouvaient des monstres, des diables qui signifiaient qu’au milieu de toute merveille le mal est tout de même présent.
(photo de Tango7174)
- Les batîments de l'abbé Robert de Torigni. Il fut édifié, à l’ouest et au sud-ouest, un ensemble de bâtiments comportant de nouveaux logis abbatiaux, une officialité, une nouvelle hôtellerie, une infirmerie et la chapelle Saint-Étienne. Il fit, par la même occasion, remanier les chemins de communication desservant Notre-Dame-Sous-Terre, afin de limiter le contact entre les pèlerins et les moines. On y trouve également une cage à écureuil datant du temps ou le site servait de prison. Ce qui servait à ravitailler les condamnés.
La chapelle St Etienne
- La Salle "de Belle Chaise" et les autres batîments, appartenant aux fonctions administratives et cultuelles de l’abbaye.
A l’est, la Salle des Gardes, qui sera par la suite, l’entrée de l’abbaye, ainsi qu’une officialité ayant la particularité de rendre la justice relevant de l’abbaye.
Les deux tours du Châtelet, puis la tour Perrine et une Bailliverie. Le tout complété par un logis personnel complétant les fortifications de l’abbaye.
- La chapelle Saint Aubert et sa fontaine.
- L’église paroissiale Saint-Pierre, à l’origine, l’église des habitants des Montois. Elle a reussie à gardé quelques vestiges du 11è siècle, mais en général, elle date plutôt du 15è 16è siècle. Sa nef ne possède qu’un seul bas-côté, ce qui décentre son chœur vers la gauche. Munie d’un petit clocher, elle est riche d'objets cultuels : un beau vitrail du 15è, un gisant médiéval décapité, un autel et son retable à colonnes de 1660, une Vierge à l’Enfant et une statue de Sainte Anne enseignant à Marie, une copie de la statue de saint Michel. Autour de l’église le cimetière.
⇒ Le patrimoine Militaire :
Le Mont est l'une des rares villes françaises à avoir conservé l’ensemble de ses fortifications médiévales. L'enceinte,qui date des 13è et 15è siècles, est entièrement classée Monument Historique et également inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO. La muraille se compose donc de courtines flanquée de tours semi-circulaires et d’une tour bastionnée.
- Vous admirerez la vue sur la baie depuis le chemin de ronde qui vous permettra d'enjamber de magnifiques ouvrages de défense. La porte du Roy avec son pont levis, l'Avancée et sa porte, le Boulevard et sa porte, le corps de garde des Bourgeois.
- L’enceinte des Fanils du 16è siècle avec sa tour Gabriel, qui continue vers les murs du Monteux, de Cantilly et de la Pillette, date du XVIe siècle.
- Le Mont Saint Michel c'est aussi une nouvelle découverte à chaque pas effectué. Tout d'abord, avant d'entrer en ville, une muraille fortifiée ceinturant la ville, et à proximité d’une des portes, deux bombardes abandonnées par les Anglais lors de la guerre de Cent Ans. Lors de votre ballade, vous tomberez sur de magnifiques vestiges comme les reservoirs d'eau, des terrasses et jardins, des passages étroits ayant gardé leur rusticité, les façades de magnifiques bâtiments privés...
LOISIRS :
- Visites commentées d'une durée d'une heure, où visite conférence de deux heures, de l'Abbaye ST michel.
Possibilité également d'assister aux messes données par la communauté Les Fraternités Monastiques de Jérusalem aux datent et heures données.
- L'Archéoscope. Spectacle multi-média qui retrace l'histoire de la construction de l'abbaye.
- Musée Grévin. Musée historique exposant des collections anciennes d'armes, montres, sculptures, peintures...Vous trouverez aussi des reconstitutions d'oubliettes, de prison, cachots, ainsi qu'un périscope dattant du 19è siècle par lequel vous pourrez découvrir la Baie.mer
- Musée de la mer et de l'écologie. Explications sur le phénomène des marées, les problèmes de l'ensablement du site et exposition sur les prochains travaux qui auront lieu.
- Le logis Tiphaine. Demeure de Bertrand Dugesclin du 14è siècle. Visite de la maison dont le mobilier, les peintures et tapisseries sont d'origine, avec la présentation de la vie du connétable et de son épouse.
- Traversée de la baie guidées et commentées. Quoi de plus agréable que de traverser la baie à pied, à marée basse avec en prime un guide qui vous conte son histoire, vous la fait découvrir autrement, et vous aide à la respecter.
- Découvrir le Mont Saint Michel autrement, par les airs. Vous aurez le choix entre l'impréssion de liberté et du grand bol d'air de l'ULM, où le confort de l'hélicoptère.
MANIFESTATIONS :
- Le 13 mai, 15è Marathon de la Baie du Mont St Michel.
- Le 9 juin, concert de l'Abbaye avec Jean-Gihen Queyras, violoncelliste jouant du Jean-Sébastien Bach sur les Suite n° 3 pour violoncelle seul en ut majeur BWV 1009, suite n° 5 pour violoncelle seul en ut mineur BWV 1011, et la suite n° 6 pour violoncelle seul en ré majeur BWV 1012.
- Le 15 juillet, Concert dans l’Abbatiale à 20h30 du choeur Accentus composé de 37 chanteurs reprenant des oeuvres de Jean-Sebastien Bach, Ligeti, Mendelssohn.
Du 25 au 29 juillet, le Festival Entre Ciel et Mer offrant cinq jours de manifestations avec des expositions d'art plastique, des ateliers de plein air, mais aussi des conférences, des concerts, et à chaque coin de rue du théâtre de rue.
- Le 27, le pèlerinage à travers les grèves au départ de Pont de Genets jusqu'au Mont St Michel.
HEBERGEMENTS :
Plein Air :
- Camping du Mont Saint Michel***. Situé à l'entrée de la digue, à environ 2 km du Mont.
Doté de 80 emplacements. Aire de camping-cars au tarif de 8,40 euros la nuit, comprenant l'eau, l'électricité, et la vidange.
Hôtels :
- L'auberge Saint Pierre***. Situé le long de la petite rue qui monte vers l'abbaye, l'Auberge, une magnifique maison à pans de bois du 15è siècle classée monument historique, vous acceuille dans un lieu enchanteur, chargé d'histoire.
9 chambres à partir de 190 euros la nuitée. Demi pension possible.
- La Croix Blanche***. Au coeur du village médiéval, l'hôtel est fièrement élevé sur le rocher, face aux remparts, ce qui lui permet de vous offrir une vue exceptionnelle sur la baie.
Ecran plat, wifi, reveil automatique, coffre-fort, minibar, plateau de courtoisie, dans la salle de bain un miroir grossissant et un sèche serviettes.
9 chambres à partir de 150 euros la nuitée. Demi pension possible.
- La Vieille Auberge**. Une hostellerie perpétuant l’accueil des pèlerins depuis des années. Maison classée monument historique.
Panorama unique sur la baie. 11 chambres à partir de 98 euros la nuitée.
- Hôtel restaurant du Guesclin**. Entre la rue principale et le chemin de ronde des remparts, à 100 mètres de la grande porte du Mont Saint-Michel. Chambres avec vue sur la baie, salle de restaurant panoramique. Spécialités marines.
A partir de 74 euros la nuitée. Demi-pension possible.
GASTRONOMIE :
- Restaurants :
- La Mère Poulard. Le célèbre restaurant au cadre historique et prestigieux.
Recettes traditionnelles de La Mère Poulard, célèbre cuisinière du Mont-Saint-Michel grâce, notamment à son l’omelette cuite au feu de bois.
Spécialités agneau de pays, homards, poissons et coquillages, et gourmandises d’autrefois.
Menus à partir de 35 euros.
- Les Terrasses Poulard. Restaurant panoramique.
Spécialités fruits de mer, poissons et crustacés, omelette tradition, agneau de pays, desserts d’autrefois…
Menus à partir de 15 euros.
- Chez Mado. Cuisine savoureuse.
Fruits de mer, de coquillages, de poissons et de crustacés. Entrées raffinées, grillades...
Menus à partir de 14 euros.
- La Confiance. Situé au coeur du Mont-Saint-Michel dans des demeures historiques.
Cuisine réputée. De 8h00 à 11h00, le restaurant vous propose aussi son service petit-déjeuner.
- Brasseries :
- Le Chapeau Rouge. Spécialité galettes de sarasin et crêpes bretonnes fait maison, et moules frites.
Menus à partir de 13,90 euros.
- Le Tripot. Spécialité mouton de pré-salé, moules.